Le nouveau responsable de la section futsal veut amener son expérience du Claret futsal, club qu’il a créé et fait progresser d’année en année. Voilà pourquoi son projet au Sporting Club de Toulon est ambitieux et surtout global.

Quelles sont les grandes lignes du projet toulonnais ?

Être présent dans toutes les catégories. Faire de l’apprentissage auprès des 6 – 13 ans et prendre part aux nouveaux championnats créés par le district du Var en 15 – 18 ans. L’équipe première de Rachid El Brazi est montée la saison dernière voilà pourquoi nous allons créer une équipe 2. Même chose pour les féminines puisque nous allons développer cet axe là également. C’était mon seul regret au Claret futsal.

C’est cette expérience que vous allez emmener ?

Exactement. Au Claret Futsal nous sommes partis de rien et chaque saison nous avons franchi des paliers en créant des équipes. Nous n’avons pas brûlé les étapes et je veux m’appuyer là-dessus pour bien travailler au Sporting Club de Toulon. L’important c’est la formation des éducateurs car le futsal est une discipline qui possède ses propres caractéristiques et qu’il faut savoir appréhender pour donner envie aux joueurs et joueuses.

L’objectif ?

Compter au moins dix licenciés par catégorie et assurer la formation des éducateurs. C’est vraiment mon fil conducteur d’autant que je suis aussi le responsable de la commission futsal au district du Var. Je m’efforce donc d’être une passerelle pour assurer le développement du futsal dans de bonnes conditions. Au Sporting nous nous inscrivons dans un projet global au niveau de l’association avec le renouveau des féminines à onze suite à l’arrivée de Riad Bouhain et Amadou Diatta. C’est motivant car l’idée est de devenir le club référent en termes de formation !