4 questions à Dominique Lanata, fondateur de Immo Liberté
Pouvez-vous présenter Immo Liberté ?
Immo Liberté, c’est une aventure que j’ai lancée en 2012. À l’époque, l’idée, c’était de créer une agence de proximité, réactive, avec une vraie connaissance du terrain. Treize ans plus tard, on est une équipe de 12 collaborateurs, avec trois agences : deux à Toulon et une à La Valette-du-Var.
On couvre principalement le Var, les Bouches-du-Rhône, les Alpes-Maritimes et le Vaucluse, et on fait aussi un peu de Corse sur certains dossiers.
On fait de la transaction bien sûr dans l’ancien, le neuf, et le pro mais aussi de la location, de la gestion locative, et de l’immobilier commercial : fonds de commerce, bureaux, etc.
Ce qui fait notre force, c’est l’équipe. Des gens investis, sérieux, qui aiment ce qu’ils font. Et surtout, une vraie proximité avec nos clients. On les accompagne de A à Z, avec transparence et efficacité.
Vos valeurs et le lien avec le Sporting ?
Ce qui nous définit, c’est avant tout une identité forte, un ADN bien à nous. Depuis 2012, on avance avec des valeurs qui nous tiennent à cœur : la fidélité, la proximité, le sérieux, et surtout, cette volonté de se démarquer dans notre manière de travailler.
On ne cherche pas à faire du volume pour faire du volume. On cherche à créer une vraie relation de confiance avec nos clients, à les accompagner avec sincérité. Et c’est là que je retrouve une vraie corrélation avec le Sporting Club de Toulon.
Le Sporting, c’est un club historique, avec une âme, une identité forte aussi. C’est un club qui fédère, qui vit grâce à la passion et à l’attachement de ses supporters, année après année. Cette notion de fidélité, elle est dans notre quotidien aussi, que ce soit avec nos clients ou nos partenaires.
C’est quoi pour vous le Sporting ?
Quand on parle du Sporting Club de Toulon, on ne parle pas juste de football. On parle d’un club historique, d’un symbole fort dans le Var. C’est le plus grand club du département, avec un passé riche, une histoire marquante, une vraie identité, portée par la Rascasse. C’est un club référent dans le football varois !
Quel bilan tirez-vous de cette saison ?
La saison a été riche en enseignements. Jusqu’à janvier, on y a vraiment cru. Il y avait une intention claire de monter, une dynamique positive, et l’équipe avait montré de belles choses. Mais malheureusement, on a mal négocié nos matchs en retard, et ça nous a clairement pénalisés sur la fin de saison, notamment dans la course à la montée.
Cela dit, il faut aussi regarder le positif. Il y a eu une belle progression, tant dans le jeu que dans l’état d’esprit. Le club a commencé à assimiler des jeunes issus de la formation, tout en maintenant un équilibre avec des joueurs plus expérimentés. Ce melting-pot entre jeunesse et vécu, c’est la voie à suivre.
Aujourd’hui, on sent que le projet prend forme. Il y a des bases solides. Et très clairement, on peut et on doit monter. Il y a la qualité, il y a l’envie !